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Des feux de détresse

Application élémentaire du célèbre circuit intégré NE555
Article publié le vendredi 22 juillet 2011.


Sa simplicité autorise l’implantation des quelques composants sur une plaque perforée. Un circuit imprimé a néanmoins été conçu pour les personnes équipées.

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La borne 3 du circuit alimente directement la bobine du relais.

La résistance de 56K est posée verticalement.

La cadence peut être changée en modifiant la valeur du condensateur chimique ( par exemple 1,5 seconde avec une capacité de 33µF )

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Composants :

-  Résistances : 4,7K - 56K
-  Condensateurs : 10µF 16V - 10nF
-  Circuit intégré NE555
-  Diode 1N4148
-  Relais 2 A ( ici un Finder 2 inverseurs 10A )
-  Un petit coffret ( Teko P1 par exemple )
-  Un bouton poussoir ou interrupteur guidon

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Sur le typon, les îlots de connexion alimentation sont doubles pour pouvoir dériver, par pontage filaire, la polarité désirée vers les bornes utilisation du relais.

Les deux circuits clignotants sont répartis sur les inverseurs, pour soulager les contacts. Ne soyez pas pingres en choisissant la section des fils, l’intensité n’est pas négligeable.

Pour la Jinlun, on retrouve le passage des fils des clignotants arrière sous la selle.

C’est au niveau des cosses que l’on amène un positif de chaque côté ; sur le fil bleu à droite et l’orange à gauche.

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Pour plus de clarté, voici la disposition des coffrets alarme et feux de détresse, ainsi que la sirène. Le tout est arrimé au bac à outils.

Le bord du coffret alarme a été découpé pour dégager la bosse du garde boue. Il a été posé horizontalement à cause de la position de l’interrupteur à mercure ( voir article considéré).

Je ne vous montrerai pas où se trouve l’interrupteur de l’alarme, allez-y de votre imagination !


30 juillet

Ce chapitre explicatif est destiné aux personnes non accoutumées à l’électronique. Ce montage élémentaire s’accorde parfaitement à une approche pratique de ce qui est un violon d’Ingres pour bon nombre d’entre nous.

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Vous recevez votre circuit imprimé. Il convient de le percer pour permettre l’implantation des composants. En général, un foret de 0,8 est bien adapté.

Mais pour les fils de jonction de notre réalisation, nous percerons à 1,5mm.

Pour assujettir la plaquette, des trous de 3,5mm peuvent êtres forés en fonction du boîtier utilisé et des zones vierges du circuit.

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__Si la résine de protection est toujours présente, nous l’enlèverons à l’aide d’un chiffon imbibé d’acétone. Cette opération rendra plus aisée la brasure à l’étain, sur un cuivre bien propre.

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On insère les composants, en commençant par les plus petits. Les pattes sont légèrement repliées côté cuivre, afin qu’ils restent en place pendant le brasage.

Les queues sont coupées près de la platine.

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__La soudure peut alors être effectuée, en passant de préférence d’un composant à l’autre, pour éviter la surchauffe.

Attention aux courts-circuits entre pistes.

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Deux fils sont posés entre le positif et chaque point central des inverseurs du relais.

Insérez le circuit intégré dans le support, la borne 1 est située du côté du repère.

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Attention, l’utilisation du relais petit modèle, requiert un pontage sur chaque inverseur, le brochage étant différent ( voir photo ).

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