Un stroboscope

Il est évident que des salves de flashs sont plus remarquées qu’un point lumineux fixe. Pas besoin de se creuser les méninges, cet accessoire existe dans le commerce, prêt à l’emploi.

Alimenté en 12 volts par les fils noir et rouge, le fil jaune appliqué brièvement sur le positif permet de changer la séquence lumineuse au goût de chacun.

Trois diodes en série protègent l’appareil de la surtension ( inutiles pour les blocs équipés d’un régulateur interne, conçus pour 12 à 24 volts, par exemple ).

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Un générateur de salves en diodes LED bleues

Ce mode interdit au particulier par la législation est remarquable d’efficacité...., la vie n’a pas de prix !

Des barrettes de 9 LED, en matière souple, sont poussées dans un profilé U en aluminium, une à chaque extrémité.

Ces ensembles de composants sont prévus pour une tension de 12 volts. Celle du régulateur de la moto atteint un seuil plus élevé, de l’ordre de ± 13,5 volts. Deux diodes 1N400x ( par exemple ), ici 1N4007, sont connectées en série sur l’un des fils d’alimentation afin de ramener la tension à une proportion acceptable.

Le générateur d’effets lumineux est un kit de la firme Velleman, le MK180, déjà utilisé ici.

Une balise lumineuse de sécurité

Fabriquée dans une boîte ayant contenu des CD.

Un klaxon puissant

Des quantités de modèles sont proposés.

J’ai opté pour le couplage de deux éléments de fréquence audio différente.

Le branchement est direct sur un interrupteur supportant la dizaine d’ampères, sans quoi il vaut mieux transiter via un relais.

Très important : Le casque de couleur vive.